Les grandes villes de l'Ouzbékistan


Description du séjour

La Route de la Soie était un réseau de routes commerciales entre l'Asie et l'Europe allant de Chang'an (actuelle Xi'an) en Chine jusqu'à Antioche en Syrie. Elle doit son nom à la plus précieuse marchandise qui y transitait : la soie, dont seuls les Chinois connaissaient le secret de fabrication. Cette dénomination de 'route de la soie' est due à un géographe allemand du XIXe siècle. Partez sur les traces de la plus grande route d'Asie lors d'un voyage sur mesure en ouzbékistan.

Une route à travers l'Asie

Les caravanes partaient de Xi'an, empruntaient le corridor du Gansu puis contournaient le désert du Taklamakan par le nord au pied des hautes montagnes des Tian Shan ou par le sud au pied des Kunlun; ces deux routes étaient jalonnées de villes et caravansérails : au nord, Turfan, Ürümqi, Karachahr, Koutcha, Aksou, Kashgar et au sud Dunhuang, Miran, Cherchen, Niya, Khotan, Yarkand.
À partir de Kashgar et Yarkand, les pistes rejoignaient la Perse ou l'Inde à travers les hautes montagnes de l'Asie centrale (Pamir et Karakoram), puis par la Sogdiane (Samarcande, Boukhara, Merv), la Bactriane ou le Cachemire.
Peu de caravanes effectuaient l'intégralité du trajet et les marchandises étaient revendues le long de la route dans les oasis qui devinrent des centres de commerce très prospères.

Une route qui a vu passer les plus grands

Historiquement, on considère que la Route de la Soie a été ouverte par le général chinois Zhang Qian au IIe siècle av JC; l’empereur l'avait envoyé sceller une alliance avec les tribus situées à l’ouest du désert de Taklamakan.
Alexandre le Grand s’était arrêté bien avant d’atteindre le Turkestan chinois. Les Romains, qui n’étaient pas mieux renseignés, étaient convaincus que les Sères ('peuple de la soie', c’est à dire les Chinois) récoltaient la soie sur les arbres. Les Parthes, les Sogdiens et les Indiens devinrent rapidement les principaux intermédiaires dans le commerce de la soie entre l’est et l’ouest, achetant le tissu aux marchands chinois qui l’acheminaient jusqu’à Dunhuang, et le revendant aux Syriens et aux Grecs. Chaque transaction augmentait considérablement le prix du produit qui aboutissait dans l’Empire romain par le biais d’intermédiaires grecs et juifs.

Des caravanes chargées de marchandises précieuses mais pas seulement

La soie ne représentait qu’une petite partie du commerce effectué sur la Route de la Soie. Les caravanes qui partaient vers l’est emportaient de l’or, des pierres et des métaux précieux, des textiles, de l’ivoire et du corail, alors que celles qui allaient en Occident étaient chargées de fourrures, de céramiques, de cannelle et d’armes en bronze.
L’importance de ces nouveaux liens terrestres entre Orient et Occident se mesurent également aux idées et aux croyances véhiculées par les hommes qui accompagnaient ces caravanes. L'impact des pensées religieuses et philosophiques de l'Inde, de l'Asie centrale et du Moyen-Orient allait être immense tant en Chine que dans les autres pays de l'Asie; en particulier, le bouddhisme introduit au début de l'ère chrétienne connut une expansion rapide le long de la Route de la Soie et de nombreuses grottes et monastères furent construits dans les oasis; l'âge d'or du bouddhisme prendra fin en 845 lorsque l'empereur hostile aux religions étrangères les interdira.
On a du mal à imaginer que des monastères bouddhiques dominaient autrefois la vie culturelle d'Asie Centrale.

Un apport culturel énorme

Elle a permis de maintenir une culture internationale qui liait ensemble des peuples très divers; elle eut un fort impact d'intégration dans les régions traversées sur les tribus qui vivaient auparavant isolées; elle a amené le nestorianisme, le manichéisme, le bouddhisme et l'islam en Asie centrale et en Chine. A la religion et à l'art, il convient d'ajouter les technologies : des chinois, l'Asie centrale n'apprit pas seulement à couler le fer, mais aussi à fabriquer du papier. À la fin de sa gloire, la Route de la Soie a contribué à l'établissement du plus grand empire continental de tous les temps : l'Empire des Mongols .Vers la fin du VIIIe siècle, les routes maritimes qui reliaient le port méridional de Canton au Moyen-Orient étaient bien établies.
L’art de la sériciculture avait été maitrisé par les Perses et, même si la soie ne fut pas produite en Europe avant le XIIe siècle, l’apogée de la Route de la Soie tirait à sa fin. La chute de la dynastie Tang au Xe siècle conduisit la Chine au chaos; à la même époque, des communautés entières dans les oasis disparaissaient suite au tarissement des sources. Les turbulences occasionnées par Gengis Khan et Tamerlan minèrent l'économie de la région. L'Asie centrale restera longtemps en dehors des préoccupations de l'Orient et de l'Occident jusqu'à l'arrivée des explorateurs russes et anglais au XIXe siècle.

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Global Trip


8 jours

À partir de : 640 €*

Jour 1: Mardi. Paris – Ourguentch

Jour 2: Mercredi. Visite de Khiva.

Jour 3: Jeudi KHIVA - TOPRAK KALA - AYAZ-KALA OURGENCH - BOUKHARA en avion

Jour 4: Vendredi. Visite de Boukhara

Jour 5: Samedi. Monuments de Boukhara

Jour 6: Dimanche. Samarkand – Shakhrisabz - Samarkand

Jour 7: Lundi. Samarkand – Tachkent.

Jour 8: Mardi. Tachkent

Jour 1 : Mardi. Paris – Ourguentch



Envol pour Ourguentch le vol HY252 « Uzbekistan airways » à 20h30 (l’heure parisienne). Nuit au bord de l’avion.




Jour 2 : Mercredi. Visite de Khiva.



Arrivée à Ourguentch à 6h30 en provenance de Paris le vol HY252. Vous êtes accueilli par votre guide accompagnateur francophone à l’aéroport d’Ourguentch. Transfert à l’hôtel Petit déjeuner.

Khiva "la perle de l'orient"

Capitale du KHOREZM, importante oasis sur les Routes de la Soie, au cœur du désert du KYZYL KOUM., au croisement des routes caravanières de Perse, de Russie et de l’Inde. La légende nous dit qu'elle fut fondée par SHEM, un fils de Noé, après un songe flamboyant.

La citadelle de l’Itchan Kala (UNESCO)

D'imposantes murailles de briques crues, hérissées de créneaux, ponctuées de puissantes tours, l'encerclaient sur plus de 2 kms. A l’intérieur s'abritent, palais, madrasas, mosquées, caravansérails, construits par les KHANS, impitoyables rivaux de Boukhara. C'est une ville musée, vidée de ses habitants, par les Soviétiques, en 1960. Même si elle a fêté ses 2500 ans, la plupart des édifices sont du XVII° au XIX° siècle.

Le Kunia Ark est l’ancienne citadelle,

Le refuge fortifié de tous les Khans. Le célèbre iwan de la salle de réception est plaqué de majoliques bleues et blanches. La mosquée d’été a des décors floraux somptueux. Le Mausolée de Pakhlavan Makhmoud est le plus beau monument de la ville, le lieu le plus sacré de Khiva, sa coupole turquoise abrite le saint patron de la ville : lutteur, fourreur et poète du XIVème siècle. Le Minaret et la Medersa Islam Khodja domine toute la ville avec ses anneaux de couleur : du haut de ses 120 marches la vue sur le désert environnant et sur Khiva est inoubliable. La Madrasa abrite un musée des Arts Appliqués : boiseries, tapis, tentures …

Déjeuner. Poursuite de la visite de Khiva, la "ville musée à ciel ouvert".

Le Palais Tach Khaouli ou «Palais de pierre»,

Le nouveau palais du khan du XIXème siècle. Les Iwans ont des décors de majoliques bleues et blanches éblouissants, on visite la salle d’audience et tribunal aux décorations admirables par Abdullah djinn, salle du trône, trésor, harem, écuries, arsenal, casernes, mosquée, prison … La Madrasa Mohamed Amin Khan aux façades colorées de mosaïques bleues, une des plus grandes d’Asie Centrale, accueillait 260 étudiants. Elle fut une sinistre prison soviétique, aujourd’hui un hôtel de luxe La Madrasa Muhamad Rakhim Khan abrite sous son portail le centre d’artisanat Le Kalta Minor ou minaret court, superbement décoré de majoliques vert de jade, il devait être le plus haut du monde musulman mais la mort d’Amin Khan, décapité lors d’une bataille, le laissa inachevé

La Mosquée Djouma

Aussi appelée la mosquée du Vendredi a un somptueux intérieur : une forêt de colonnes du Xè au XIIème siècle de toutes provenances, les plus belles de l’Inde. On y devine des représentations humaines, des symboles zoroastriens, des Bouddhas tous effacés …

Diner. Nuit à l’hôtel.




Jour 3 : Jeudi KHIVA - TOPRAK KALA - AYAZ-KALA OURGENCH - BOUKHARA en avion



Petit déjeuner à l’hôtel.

Découverte du pittoresque marché de Khiva

L'anneau d'or del'ancien Kharezm ou Elliq Kala : les "50 forteresses".

D’antiques citadelles perdues dans les sables, au sud de la Karakalpakie : Pont de Berouni on traverse l'Amou Daria pour se rendre aux citadelles du désert : des barges rouillées sont jetées sur l'eau et reliées par des chaines et des plaques de tôle. Le maigre courant d'eau entre les dunes de sable témoigne de l'ensablement de toute la région à la suite de l'exploitation forcenée du coton, à l'époque soviétique. L'assèchement de la mer d'Aral avec ses épaves de bateaux perdues dans les sables en est la terrible conséquence.

Toprak Kala 

Impressionnante forteresse en ruine du 1er siècle avant JC, elle fut la capitale des seigneurs KOUCHANS, mais les attaques répétées des Huns Hephtalite, en détruisant les canaux d'irrigation, firent sombrer dans l'oubli cette brillante civilisation. La citadelle royale recèle encore des traces de jardins, Salle des rois, Salle des victoires, Salle des gardes noirs, temple des adorateurs du feu, et des vastes maisons des clans qui abritaient plus de cent membres…

Kyzyl Kala une petite bourgade abritait derrière de hautes murailles les garnisons de l'ancienne forteresse.

Ayaz Kala: le site le plus impressionnant 

Deux citadelles perchées sur les collines d'où l'on a une vue admirable sur le désert Un camp de yourtes Kazakh nous recevra pour le déjeuner Tout près, un petit lac est ourlé de sel Transfert à l’aéroport d’Ourguentch et envol pour Boukhara. Le vol HY 058 départ d’Ourguentch à 21:50, arrivée à Boukhara à 22 :50.

Nuit а l'Hôtel à Boukhara.




Jour 4 : Vendredi. Visite de Boukhara



Petit déjeuner.

Journées consacrées aux visites de Boukhara "la noble", (UNESCO)

Boukhara " la Sainte" :

"Le dôme de l'Islam", "le Pilier de la religion", "la beauté de l'esprit", est la plus secrète des cités caravanières, la mieux préservée des villes orientales. Une oasis au cœur du désert rouge, le Kysyl Koum. Cité achéménide du VI° siècle, conquise par Alexandre, détruite par les hordes de Gengis Khan puis par Tamerlan, par les troupes du tsar puis par les bolcheviks et sans cesse renaissante. Elle fut l'un des centres spirituels et intellectuels les plus importants du pays, attirant des étudiants d'Arabie, d'Irak et d'Espagne dans ses madrasas.

Le Mausolée Ismael Samani 

L'édifice le plus ancien de Boukhara, enfoui sous plusieurs mètres de terre fut épargné par la tornade mongole. Il a plus de 1000 ans, la richesse des motifs de briques ciselées est remarquable.

Le mausolée Tchachma Ayoub : le prophète Job y fit jaillir une source miraculeuse.

Les Murailles de Boukhara protégeaient la ville des attaques nomades jusqu'à la conquête russe de 1920, qui laissa bien peu subsister des murs d'enceinte de 25 kms

La Mosquée Bolo Khaouz

C'est l'une des plus belles de la ville avec ses piliers et plafonds de bois. L'émir y faisait ses prières sous un splendide dôme. L'Iwan est un des plus élégants de toute l'Asie centrale.

La Forteresse de L'Emir Ou Ark 

Avec ses puissantes murailles crénelées fut la résidence des seigneurs de Boukhara. Elle se dresse sur la place du Reghistan dans toute sa majesté, en grande partie détruite en 1920, La Salle du Trône fut le témoin de nombreux couronnements. Salle de réception, pavillon de musique, chambres du harem se succèdent. De sa terrasse splendide vue sur les monuments de Boukhara. Déjeuner.

LA MOSQUEE KALYAN a les plus belles ornementations du XVI° siècle, le mihrab est orné de mosaïques éblouissantes.

LA PLACE POY KALON : centre religieux de Boukhara la sainte, la plus monumentale : la madrasa Mir i Arabe au majestueux Iwan fait face à l'immense mosquée Kalon et à son minaret terrible "tour de la mort" du XII° siècle, phare qui conduisait les caravanes perdues dans les immensités désertiques du Karakoum jusqu'au caravansérail. La mosquée Kalon aux 288 coupoles pouvait accueillir 10 000 fidèles. Sa coupole bleue est la plus belle. Coupoles marchandes et passages couverts sont un trait original de l'architecture de Boukhara :: Tak i Zargaron la coupole des joailliers ou la coupole des chapeliers ou TAK I SARAFAN la coupole des changeurs : les galeries couvertes abritent maintes échoppes LA MADRASA OULOUGH BEGH sobre et majestueuse : des étoiles rappellent la passion du prince pour l'astronomie.

LA MADRASA ABDUL AZIZ KHAN la mosaïque du portail d'entrée est un lacis végétal d'un jaune lumineux avec des oiseaux simourgh et un dragon Le marché couvert d'ADDULLAH KHAN est réservé aux belles étoffes de soie ikatées et à de somptueux tapis.

LA MOSQUEE MAGOKI ATTARI, le portail du XII° siècle est l'une des œuvres architecturales les plus parfaites de Boukhara.

LA MADRASA DE NADIR DIVAN BEGHI : un soleil rayonne entre deux oiseaux simourgh affrontés. Diner dans la médersa Nodir Dévanbegui avec le spectacle des danses, des chansons traditionnelles ouzbeks et les défilés de mode. Nuit à l’hôtel.




Jour 5 : Samedi. Monuments de Boukhara



Petit déjeuner. LE CHOR MINOR est une madrasa d'architecture étonnante, flanqué de quatre minarets élancés aux coupoles bleues. SITORI I MOKHI KHOSA, Palais de la lune et des étoiles, résidence d'été des Emirs de Boukhara, dans un immense parc, l'architecture russe au décor oriental ! La Salle blanche a un décor de plâtre finement ciselé sur fond de miroir. Des niches à stalactites portent de superbes bouquets multicolores Le harem recèle un musée de la broderie avec les plus beaux suzani. Départ à 15 :51 en train de Boukhara pour Samarkand par le train Afrosiab 761Ф. Arrivée à 17 :25 à Samarkand. Diner. Nuit à l’hôtel.




Jour 6 : Dimanche. Samarkand – Shakhrisabz - Samarkand



Petit déjeuner. Transfert de Samarkand à Shakhrisabz par les voiture (3 personne par voiture 100 km). La route de Samarkand à Shakhrisabz traversant les monts Fan est magnifique. Dans la région de KASHKA DARIA, elle fut la ville natale de Tamerlan. Il y fit construire un mausolée pour son fils et prévoyait d'y être inhumé. Tamerlan y avait fait déporter les meilleurs artisans des pays conquis et construire riches habitations, mosquées, madrasa, caravansérails, tombeaux, décorés d'émail bleu et or pour son père et son fils, et surtout il édifia l’AK SARAI, le « palais blanc» ; il ne reste presque rien du palais décrit par l'ambassadeur castillan de Clavijo, détruit par l'émir de Boukhara au XVI° siècle, qu'un immense portail somptueusement décoré de majoliques. Déjeuner. L’après-midi est consacré à la visite : DOR US TILIAVAT fut élevé par Tamerlan en 1373 pour son père et un célèbre soufi. MOSQUEE KOK GOUMBAZ fut construite par Oulough Begh, murs et coupoles recouverts de motifs géométriques polychromes ; MAKBARAT GOUMABAZ SAYYIDAN construit par Oulough Begh : l'intérieur est superbement orné de fresques géométriques et florales. DOR US SIADAD mausolée de Jahangir fils préféré de Tamerlan mort à 22 ans d'une chute de cheval, la douleur de Tamerlan fut immense. Chakhrissabz est également un vieux centre de broderie d’art et de céramique. Départ pour Samarkand. Visite LE MAUSOLEE DU GOUR EMIR, tombeau de jade de Tamerlan, symbole de la grandeur de la nation ouzbek, sa coupole côtelée s'élance vers le ciel à plus de 30 m ; L’intérieur en mosaïques or et bleu ciel est "pareil au firmament"




Jour 7 : Lundi. Samarkand – Tachkent.



Petit déjeuner. Samarkand - "miroir du monde", "jardin de l'âme", "joyau de l'Islam", "perle de l'Orient", "centre de l'univers", cette oasis fabuleuse du Kysyl Koum, une des plus grandes cités caravanières des Routes de la Soie, (ce grand axe allant de la Méditerranée à la Chine) a plus de 20 000 ans ! La cité fortifiée fut fondée par les Perses au VII° siècle av. JC ; au IV° siècle av. JC, Alexandre le Grand s'empara de "Maracanda" , il reste quelques traces de ses remparts. Elle fut dévastée par les hordes mongoles de Gengis Khan mais son descendant Tamerlan en fit, au XIV° siècle, la capitale d'un immense empire, de la Mer Noire au Pendjab indien, et la couvrit de monuments grandioses de même que ses successeurs. Le conquérant y réunit, de force, savante et artiste parmi les meilleurs de son temps : poètes, architectes, peintres, astronomes. La majestueuse place du REGHISTAN avec ses trois monumentales madrasas : celle d'Oulough Begh aux étoiles bleues (la plus grande université d'Asie centrale), celle de Chir Dor où des tigres de feu portent le soleil, celle de Tilla Kari couverte d'or Cette "place de sable" était le haut lieu des bazars, des défilés militaires et des exécutions publiques. LA MOSQUEE BIBI KHANUM : selon la légende, construite par une princesse du Khorasan, épouse préférée de Tamerlan, (ce qui lui couta la vie !) La plus grande d'Asie Central. 95 éléphants des Indes en apportèrent les énormes blocs. Malgré ravages des hommes et tremblements de terre elle a retrouvé la splendeur de sa coupole bleue. Déjeuner. LE BAZAR à l'ombre de Bibi Khanoum, où se presse une foule bigarrée regorge de melons, d'épices et de pains décorés. SHAHL ZINDA une ruelle grimpe dans la colline de l'antique Afrosyab, bordée de mausolées du du XI° au XV° siècle, qui entourent le tombeau d'un saint, Ibn Abas, cousin du Prophète. Apothéose de l'art de la céramique : la luxuriance des motifs floraux émaillés et ciselés évoquent les jardins du paradis. L'observatoire d'OULOUGH BEGH, l'un des plus grands astronomes du XV° siècle (dont nous avons contemplé les instruments géants aux Indes) LE MUSEE HISTORIQUE D’AFRASYAB : des fresques du V° siècle montrent une procession nuptiale : une princesse du Sukhandaria, juchée sur un éléphant blanc, vient épouser un roi de Sogdiane ! Elles proviennent du Palais de l'antique Samarkand conquise par Alexandre. Départ de Samarkand en train pour Tachkent par le train Afrosiab. Arrivée à 17 :25 à Tachkent. Dîner. Nuit à l’hôtel.




Jour 8 : Mardi. Tachkent



Petit déjeuner. La capitale hétéroclite et cosmopolite d'Ouzbékistan. La plus grande métropole d'Asie Centrale ; La "cité de pierres ", que le géographe grec Ptolémée décrivait déjà comme l'étonnant carrefour des caravanes venues d'Orient et d’Occident, est devenue une ville moderne et dynamique avec des tours de verre, le cœur économique palpitant du pays. Sur la place AMIR TIMOUR à cheval, remplacé la faucille, le marteau et la tête de Karl Marx. Il est devenu le symbole de l'indépendance ouzbek ! L'avenue BRODWAY, aux cafés branchés où l'on joue aux échecs, conduit à l'étonnant palais de brique d'un grand-duc Romanov exilé au temps des tsars... L'immense Place MUSTAKILLIK est bordée de palais, animée de fontaines. Transfert à l’aéroport pour prendre le vol de retour pour Paris le vol HY251 à 12h30.




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