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Albanie avec une agence locale !

Quand partir en Albanie

Les meilleures périodes pour visiter l’Albanie sont la fin du printemps (mai-juin) pour la beauté des paysages et le début de l'automne (septembre-octobre) quand la mer est encore chaude et les températures supportables. Mieux vaut éviter les mois de juillet et août, généralement les plus chauds. De novembre à avril, le pays connaît le froid et la pluie, avec des précipitations abondantes en novembre. Dans les montagnes, la neige tombe généralement de novembre à mars et, si les principales liaisons routières sont dégagées rapidement, certaines routes secondaires peuvent être fermées plusieurs mois.

Quel budget pour partir en Albanie avec une agence locale ?

Si vous souhaitez faire appel aux services d'une agence locale, vous devrez compter environ :

• 80 € par jour et par personne au minimum.
• 110 € par jour et par personne seront nécessaires pour plus de souplesse et de confort.

Ce budget est une estimation, par personne sur la base de 2 adultes partageant une chambre double, incluant certains transports et activités, hors vols internationaux. Si vous voyagez avec des enfants ou un plus grand nombre d'adultes, ce budget pourra être inférieur.

Pour les voyageurs solo, pensez à prévoir un budget légerement supérieur à celui indiqué ci dessus. En effet, le coût de l'hébérgement est toujours plus cher pour une chambre single.

D'autres éléments peuvent faire varier le budget comme les demandes de guides francophones ou bien la période touristique, en haute saison, les prix sont plus chers.

Infos pratiques 

Formalités

Pas besoin de visa, les citoyens de l’Union européenne peuvent se rendre en Albanie pour des séjours inférieurs à 90 jours munis d’un passeport ou d’une carte d’identité.

Décalage horaire

Il n’y aucun décalage horaire avec la France métropolitaine.

Pour y aller

On trouve désormais des vols directs réguliers pour Tirana au départ de Paris-Orly et de Bruxelles. Durée du voyage : environ quatre heures.

Se déplacer

Il n'existe quasiment pas de réseau de bus et les lignes de trains ferment année après année (il n'existe plus de gare à Tirana). Restent les redoutables minibus, opérés par de petites compagnies privées et des chauffeurs indépendants. L'état des routes est souvent désastreux et mieux vaut s'attendre à tout (énormes trous dans la chaussée, véhicules stationnant phares éteints sur la route, âne dormant sur le bitume, troupeaux de moutons, vendeurs, piétons, etc.).