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BurkinaFaso avec une agence locale !

Bienvenue au BurkinaFaso

La période climatique idéale pour le voyage reste de novembre à mars, mais la période de juin à septembre est recommandée pour découvrir un autre visage, vert et humide, de ce pays sahélien. Les paysages sont en effet à cette époque d'une grande beauté car la terre se couvre d'une végétation abondante contrastant avec la sécheresse du reste de l'année. Pour cette raison, le tourisme durant les mois d'été (juillet et août) tend progressivement à se développer. Outre le climat, les principales manifestations culturelles (qui ont essentiellement lieu entre novembre et février) et la nature peuvent déterminer le choix de date de départ. Ceux qui viennent au Burkina pour admirer sa grande faune sauvage choisiront la fin de la saison sèche, au risque d'avoir un peu chaud. Janvier et février offrent le meilleur compromis entre climat et visibilité de la faune sauvage, mais mars et avril offrent une meilleure visibilité encore, car la végétation est désormais peu abondante et les animaux se concentrent autour des points d'eau. Pour les chercheurs de beaux paysages, saison sèche et saison pluvieuse ont toutes les deux leurs avantages dans toutes les régions. Le contraste créé par les pluies est surprenant... D'une saison à l'autre certains paysages sont méconnaissables.

Les + de

Ouagadougou, capitale de l'artisanat africainGrâce à sa considérable diversité ethnique, le Burkina Faso a développé un artisanat varié et de grande qualité réputé bien au-delà de ses frontières. Ouagadougou est devenue depuis quelques décennies la capitale de l'artisanat africain, avec le Salon international de l'artisanat (SIAO) qui y rassemble des milliers d'artisans du monde tous les deux ans.Une destination authentiqueIci, pas de palaces pour touristes ou de clubs de vacances, le Burkina Faso est réservé aux voyageurs du monde en quête d'humanité et d'authenticité. Une agence locale saura vous organiser un voyage sur mesure pour un séjour encore plus authentique.En route pour l'aventureLe voyage se fera beaucoup sur piste, dans un confort tout relatif. Certains hébergements offrent un grand standing mais en majorité ils proposent un confort basique. 4x4 ou taxi-brousse, balades à pied, en bateau ou en dromadaire, il s'agit d'un voyage dynamique. Grâce à un voyage organisé par des agents de voyage locaux, vous voyagerez cependant dans les meilleures conditions possibles.Pays hospitalier par excellenceS'il n'y avait qu'un mot pour le qualifier, l'hospitalité suffirait pour décrire le Burkina Faso. A peine est-on entré en quelque lieu, voilà que fuse le " Bonne arrivée ! " plein d'enthousiasme et de chaleur.Nature sauvage et paysagesLa splendide nature sauvage d'Afrique occidentale est bien représentée au Burkina Faso. Un safari dans le sud et l'est du pays est hautement recommandé.Rencontre et mosaque ethniquePlus de 60 peuples composent la population du Burkina Faso : Peuls, Touareg, Mossi, Gourounsi, Gourmantché, Bobo, Marka, Lobi...Le niveau de vie moyen de la population est assez bas. Pour avoir une idée des prix, une baguette de pain coûte 125 FCFA (soit environ 15 centimes d'euro), un plat de riz gras dans un restaurant de rue coûte 300 FCFA (soit moins de 50 centimes d'euro) et un soda dit " sucrerie " dans un maquis 400 FCFA (soit une peu plus de 50 centimes d'euro). Réciproquement, un bon repas pour quatre personnes dans un grand restaurant de Ouaga coûte le salaire mensuel du chauffeur de taxi qui ramènera chez eux ces mangeurs privilégiés. Ce dernier prendra rarement plus de deux repas par jour, et verra le riz ou le tô (pâte à base de mil, sorgho ou mas) très régulièrement affichés à son menu.Ainsi, aux yeux de la plupart des habitants, un touriste est riche. Ceci peut aisément se comprendre, puisque le budget d'un voyageur pour un séjour d'une quinzaine de jours, dépassera, vol compris, le revenu annuel de la majorité des Burkinabés. Pour s'en persuader, il suffira de comparer son budget vacances au salaire mensuel moyen d'une serveuse dans un maquis (entre 20 000 et 40 000 FCFA) ou au salaire journalier d'un chauffeur (3 000 à 6 000 FCFA). Prendre conscience de ces différences de moyens fait partie du voyage et cela ne doit pas décourager le voyageur qui contribue au développement et à la redistribution des richesses.FormalitésPour se rendre au Burkina, il est indispensable d'être vacciné contre la fièvre jaune (présentation du carnet de vaccination à l'arrivée) et de posséder un passeport valable 6 mois après la fin du séjour, ainsi qu'un visa (70 euros pour moins de 3 mois).