L'Ouzbékistan de l'ouest à l'est

Ouzbékistan, découvrez ce séjour de 12 jours

Description du séjour

Les faits historiques sur le territoire de l’Ouzbékistan ont une signification très importante pour toutes les régions du monde. La mémoire des millénaires se conserve dans les monuments architecturaux uniques des villes historiques de l’Ouzbékistan, telles que Tachkent, Samarcande, Boukhara, Khiva, Shahr-i-Siyabz et, bien sûr, la ville de Ferghana. Cette péninsule ouzbèke, au sein des montagnes kirghizes, forme un centre agro-industriel du pays. En choisissant ce programme, vous aurez la chance de visiter un centre industriel important de l’Ouzbékistan, comme la ville de Ferghana, et de découvrir en profondeur la richesse spirituelle et la culture unique du cœur de l’Asie centrale.

Hébergement

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Programme du séjour

  • jour 1

    Vendredi PARIS - OURGENCH

    Le départ et l'envol de Paris Charles de Gaulle sur le vol régulier Ouzbékistan Airlines à destination d’Ourguentch. Repas servis et nuit à bord.

  • jour 2

    Samedi OURGHENTCH KHIVA 30 kms

    A votre arrivée à Ourguentch, formalités douanières. Vous êtes accueillis et transférés à Khiva. Petit-déjeuner. KHIVA "LA PERLE DE L'ORIENT" Capitale du KHOREZM, importante oasis sur les Routes de la Soie, au cœur du désert du KYZYL KOUM, au croisement des routes caravanières de Perse, de Russie et de l’Inde. La légende nous dit qu'elle fut fondée par SHEM, un fils de Noé, après un songe flamboyant. La citadelle de l’Itchan Kala (UNESCO) D'imposantes murailles de briques crues, hérissées de créneaux, ponctuées de puissantes tours, l'encerclaient sur plus de 2 km. À l’intérieur s'abritent palais, madrasas, mosquées, caravansérails, construits par les KHANS, impitoyables rivaux de Boukhara. C'est une ville-musée, vidée de ses habitants par les Soviétiques en 1960. Même si elle a fêté ses 2500 ans, la plupart des édifices datent du XVIIe au XIXe siècle. Le Kunia Ark est l’ancienne citadelle, le refuge fortifié de tous les Khans. Le célèbre iwan de la salle de réception est plaqué de majoliques bleues et blanches. La mosquée d’été a des décors floraux somptueux. Le Mausolée de Pakhlavan Makhmoud est le plus beau monument de la ville, le lieu le plus sacré de Khiva. Sa coupole turquoise abrite le saint patron de la ville : lutteur, fourreur et poète du XIVe siècle. Le Minaret et la Medersa Islam Khodja dominent toute la ville avec leurs anneaux de couleur : du haut de ses 120 marches, la vue sur le désert environnant et sur Khiva est inoubliable. La Madrasa abrite un musée des Arts Appliqués : boiseries, tapis, tentures… Déjeuner. Poursuite de la visite de Khiva, la "ville-musée à ciel ouvert". Le Palais Tach Khaouli ou « Palais de pierre », le nouveau palais du khan du XIXe siècle. Les iwans ont des décors de majoliques bleues et blanches éblouissants. On visite la salle d’audience et tribunal aux décorations admirables par Abdullah Djinn, salle du trône, trésor, harem, écuries, arsenal, casernes, mosquée, prison… La Madrasa Mohamed Amin Khan, aux façades colorées de mosaïques bleues, une des plus grandes d’Asie Centrale, accueillait 260 étudiants. Elle fut une sinistre prison soviétique, aujourd’hui un hôtel de luxe. La Madrasa Muhamad Rakhim Khan abrite sous son portail le centre d’artisanat. Le Kalta Minor ou minaret court, superbement décoré de majoliques vert jade, devait être le plus haut du monde musulman, mais la mort d’Amin Khan, décapité lors d’une bataille, le laissa inachevé. La Mosquée Djouma ou mosquée du Vendredi a un somptueux intérieur : une forêt de colonnes du Xe au XIIe siècle de toutes provenances, les plus belles de l’Inde. On y devine des représentations humaines, des symboles zoroastriens, des Bouddhas tous effacés… Dîner. Nuit à l'Hôtel.

  • jour 3

    Dimanche KHIVA - TOPRAK KALA - AYAZ-KALA Khiva

    Petit déjeuner à l’hôtel. Découverte du pittoresque marché de Khiva. L'ANNEAU D’OR DE L'ANCIEN KHAREZM ou ELLIQ KALA : les "50 forteresses". D'antiques citadelles perdues dans les sables, au sud de la Karakalpakie : TOPRAK KALA : impressionnante forteresse en ruine du 1er siècle avant J.-C. Elle fut la capitale des seigneurs Kouchans, mais les attaques répétées des Huns Hephtalites, en détruisant les canaux d'irrigation, firent sombrer dans l'oubli cette brillante civilisation. La citadelle royale recèle encore des traces de jardins, la Salle des rois, la Salle des victoires, la Salle des gardes noirs, le temple des adorateurs du feu, et de vastes maisons de clans qui abritaient plus de cent membres… KYZYL KALA : une petite bourgade abritait, derrière de hautes murailles, les garnisons de l'ancienne forteresse. AYAZ KALA : le site le plus impressionnant ; deux citadelles perchées sur les collines d'où l'on a une vue admirable sur le désert. Un camp de yourtes kazakhes nous recevra pour le déjeuner. Tout près, un petit lac est ourlé de sel. Retour à Khiva. Nuit à l'hôtel.

  • jour 4

    Lundi KHIVA BOUKHARA

    Petit déjeuner. Route pour Boukhara. La route passe par le désert de Kyzyl Koum et l’on roule entre les dunes de sable. Auparavant, les caravanes dirigées vers l’Occident passaient par cette partie de la Route de la Soie, qui reliait les villes occidentales à Boukhara. Déjeuner sur la route dans un petit tchaykhana. Arrivée à Boukhara et installation à l’hôtel. Visite de la ville avec l’ensemble Lyabi Khaouz, datant du XVIᵉ siècle, dans un cadre verdoyant d’arbres centenaires entourant un petit bassin, la médersa Koukeldach, la plus grande médersa de la ville avec 140 cellules sur deux niveaux, et la médersa Nadir Divanbegi. Dîner. Nuit à l’hôtel.

  • jour 5

    Mardi BOUKHARA

    Petit déjeuner à l’hôtel. Journées consacrées aux visites de Boukhara "la noble" (UNESCO). Boukhara "la Sainte" : "le dôme de l'Islam", "le Pilier de la religion", "la beauté de l'esprit", est la plus secrète des cités caravanières, la mieux préservée des villes orientales. Une oasis au cœur du désert rouge, le Kyzyl Koum. Cité achéménide du VI° siècle, conquise par Alexandre, détruite par les hordes de Gengis Khan puis par Tamerlan, par les troupes du tsar puis par les bolcheviks, et sans cesse renaissante. Elle fut l'un des centres spirituels et intellectuels les plus importants du pays, attirant des étudiants d'Arabie, d'Irak et d'Espagne dans ses madrasas. LA VIEILLE VILLE OU CHAKHRISTAN LES MURAILLES DE BOUKHARA protégeaient la ville des attaques nomades jusqu'à la conquête russe de 1920, qui laissa bien peu subsister des murs d'enceinte de 25 km. LA FORTERESSE DE L'EMIR OU ARK, aux puissantes murailles crénelées, fut la résidence des seigneurs de Boukhara. Elle se dresse sur la place du Reghistan dans toute sa majesté, en grande partie détruite en 1920. La Salle du Trône fut le témoin de nombreux couronnements. Salle de réception, pavillon de musique, chambres du harem se succèdent. De sa terrasse splendide, vue sur les monuments de Boukhara. Les sinistres prisons du ZINDAN se cachent derrière l'Ark, son "puits noir" fait frémir. LA MOSQUÉE BOLO KHAOUZ est l'une des plus belles de la ville avec ses piliers et plafonds de bois. L'émir y faisait ses prières sous un splendide dôme. L'Iwan est un des plus élégants de toute l'Asie centrale. LA MOSQUÉE KALYAN a les plus belles ornementations du XVI° siècle, le mihrab est orné de mosaïques éblouissantes. LA PLACE POY KALON : centre religieux de Boukhara la sainte, la plus monumentale : la madrasa Mir-i-Arab au majestueux Iwan fait face à l'immense mosquée Kalon et à son minaret terrible "tour de la mort" du XII° siècle, phare qui conduisait les caravanes perdues dans les immensités désertiques du Karakoum jusqu'au caravansérail. Coupoles marchandes et passages couverts sont un trait original de l'architecture de Boukhara : Tak-i-Zargaron, la coupole des joailliers, ou la coupole des chapeliers, ou TAK-I-SARAFAN, la coupole des changeurs : les galeries couvertes abritent maintes échoppes. Le marché couvert d'ABDULLAH KHAN est réservé aux belles étoffes de soie ikatées et à de somptueux tapis. LES MADRASA MODAR-I-KHAN et ABDULLAH : les cellules des étudiants sont envahies par les artisans. LE MAUSOLÉE ISMAEL SAMANI, l'édifice le plus ancien de Boukhara, enfoui sous plusieurs mètres de terre, fut épargné par la tornade mongole. Il a plus de 1000 ans, la richesse des motifs de briques ciselées est remarquable. Le mausolée TCHACHMA AYOUB : le prophète Job y fit jaillir une source miraculeuse. LE LIAB-I-KHAOUZ : autour d'un immense bassin se dressent trois madrasas du XVI° siècle, ornées d'oiseaux simourgh fantastiques. Des vieillards barbus s'y rassemblent pour boire du thé, jouer au tric-trac ou voir passer le temps. LA MADRASA OULOUGH BEGH, sobre et majestueuse : des étoiles rappellent la passion du prince pour l'astronomie. LA MADRASA ABDUL AZIZ KHAN : la mosaïque du portail d'entrée est un lacis végétal d'un jaune lumineux avec des oiseaux simourgh et un dragon. LA MADRASA DE NADIR DIVAN BEGHI : un soleil rayonne entre deux oiseaux simourgh affrontés. LA MOSQUÉE MAGOKI ATTARI, le portail du XII° siècle, est l'une des œuvres architecturales les plus parfaites de Boukhara. Déjeuners dont l’un dans une « tchaikhana ». Dîners dont un avec musique folklorique à la Madrassa Nodir Devon Beghi. Logement à l’hôtel.

  • jour 6

    Mercredi BOUKHARA

    Petit déjeuner à l’hôtel. LE CHOR MINOR est une madrasa d'architecture étonnante, flanquée de quatre minarets élancés aux coupoles bleues. SITORI I MOKHI KHOSA, Palais de la Lune et des Étoiles, résidence d'été des Émirs de Boukhara, se trouve dans un immense parc. L'architecture russe y côtoie un décor oriental ! La salle blanche présente un décor de plâtre finement ciselé sur fond de miroir. Des niches à stalactites portent de superbes bouquets multicolores. Le harem recèle un musée de la broderie avec les plus beaux suzani. Au bord d'un bassin lumineux, le PALAIS DU DERNIER ÉMIR SITORAI MAKHI KHOSA hésite entre style russe et oriental. Il possède des salons de réception où voisinent objets d'art décoratifs et costumes nationaux brodés d'or. La salle blanche présente des plâtres sculptés sur fond de miroir. LES RUELLES DE BOUKHARA : on se perd dans ce labyrinthe, où l'on découvre des artisans tisserands ou brodeurs d'or, des potiers et de petits sanctuaires délabrés. "Dans le labyrinthe de ruelles sinueuses au sol inégal et raboteux, c'est l'Orient d'Asie tel qu'il était il y a plusieurs siècles, au temps de Marco Polo ou de Tamerlan lui-même." En fin d’après-midi, visite de la maison d’un ancien marchand de peaux d’Astrakan, Faizullo Khodjayev, où les visiteurs pourront voir l’intérieur des maisons traditionnelles ouzbeks des XIXe et XXe siècles, ainsi que les costumes portés depuis l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui par des hommes et des femmes boukhariotes. Thé vert et friandises ouzbeks vous seront servis. Déjeuners, dont l’un dans une « tchaikhana ». Temps libre. Dîner. Logement à l’hôtel.

  • jour 7

    BOUKHARA - SHAKHRISABZ - SAMARKAND

    Petit déjeuner. Transfert de Boukhara à Samarkand via Shakhrisabz (275 km, 4 h + 90 km, 1 h 30*). La route de Samarkand à Shakhrisabz, traversant les monts Fan, est magnifique. Dans la région de KASHKA DARIA, elle fut la ville natale de Tamerlan. Il y fit construire un mausolée pour son fils et prévoyait d'y être inhumé. Tamerlan y avait fait déporter les meilleurs artisans des pays conquis et construire de riches habitations, mosquées, madrasas, caravansérails, tombeaux, décorés d'émail bleu et or pour son père et son fils. Surtout, il édifia l'AK SARAI, le "palais blanc". Il ne reste presque rien du palais décrit par l'ambassadeur castillan de Clavijo, détruit par l'émir de Boukhara au XVIe siècle, si ce n'est un immense portail somptueusement décoré de majoliques. Déjeuner. L’après-midi est consacré à la visite : DOR US TILIAVAT fut élevé par Tamerlan en 1373 pour son père et un célèbre soufi. La MOSQUÉE KOK GOUMBAZ fut construite par Oulough Begh, ses murs et coupoles sont recouverts de motifs géométriques polychromes. MAKBARAT GOUMBAZ SAYYIDAN, construit par Oulough Begh : l'intérieur est superbement orné de fresques géométriques et florales. DOR US SIADAD, mausolée de Djahangir, fils préféré de Tamerlan, mort à 22 ans d'une chute de cheval. La douleur de Tamerlan fut immense. Shakhrisabz est également un vieux centre de broderie d’art et de céramique. Départ pour Samarkand. Installation à l’hôtel. Dîner. Nuit à l’hôtel.

  • jour 8

    Samedi Samarkand

    Petit déjeuner. Samarkand, "miroir du monde", "jardin de l'âme", "joyau de l'Islam", "perle de l'Orient", "centre de l'univers", cette oasis fabuleuse du Kyzyl Koum, une des plus grandes cités caravanières des Routes de la Soie (ce grand axe allant de la Méditerranée à la Chine), a plus de 20 000 ans ! La cité fortifiée fut fondée par les Perses au VIIe siècle av. J.-C. ; au IVe siècle av. J.-C., Alexandre le Grand s'empara de « Maracanda ». Il reste quelques traces de ses remparts. Elle fut dévastée par les hordes mongoles de Gengis Khan, mais son descendant Tamerlan en fit, au XIVe siècle, la capitale d'un immense empire, de la mer Noire au Pendjab indien, et la couvrit de monuments grandioses, de même que ses successeurs. Le conquérant y réunit, de force, savants et artistes parmi les meilleurs de son temps : poètes, architectes, peintres, astronomes. La majestueuse place du REGHISTAN avec ses trois monumentales madrasas : celle d'Oulough Begh aux étoiles bleues (la plus grande université d'Asie centrale), celle de Chir Dor où des tigres de feu portent le soleil, celle de Tilla Khari couverte d'or… Cette "place de sable" était le haut lieu des bazars, des défilés militaires et des exécutions publiques. LE MAUSOLÉE DU GOUR EMIR, tombeau de jade de Tamerlan, symbole de la grandeur de la nation ouzbèke, sa coupole côtelée s'élance vers le ciel à plus de 30 m. L’intérieur en mosaïques or et bleu ciel est "pareil au firmament". Déjeuner. LA MOSQUÉE BIBI KHANUM : selon la légende, construite par une princesse du Khorasan, épouse préférée de Tamerlan (ce qui lui coûta la vie !). La plus grande d'Asie centrale. 95 éléphants des Indes en apportèrent les énormes blocs. Malgré les ravages des hommes et les tremblements de terre, elle a retrouvé la splendeur de sa coupole bleue. Déjeuner. LE BAZAR à l'ombre de Bibi Khanum, où se presse une foule bigarrée, regorge de melons, d'épices et de pains décorés. SHAHL ZINDA : une ruelle grimpe dans la colline de l'antique Afrosyab, bordée de mausolées du XIe au XVe siècle, qui entourent le tombeau d'un saint, Ibn Abbas, cousin du Prophète. Dîner. Nuit à l’hôtel. Apothéose de l'art de la céramique : la luxuriance des motifs floraux émaillés et ciselés évoque les jardins du paradis. Dîner. Nuit à l’hôtel.

  • jour 9

    Dimanche SAMARKAND TASHKENT

    Suite des visites de Samarkand L'observatoire d'Oulough Begh, l'un des plus grands astronomes du XVe siècle (dont nous avons contemplé les instruments géants aux Indes). Le musée historique d’Afrasyab : des fresques du Ve siècle montrent une procession nuptiale : une princesse du Sukhandaria, juchée sur un éléphant blanc, vient épouser un roi de Sogdiane ! Elles proviennent du palais de l'antique Samarkand conquise par Alexandre. Hodja Danyar : le mausolée du prophète Daniel (qui fut jeté aux lions). Les pèlerins musulmans, juifs et orthodoxes affluent près du sarcophage de dix-huit mètres qui s'allonge toujours. Déjeuner. Départ pour la visite du complexe mémorial Al Boukhari, un des lieux de pèlerinage de l’Islam. Le mausolée à la coupole bleue a été entièrement reconstruit en 1998 par les meilleurs artisans du pays. Départ en train pour Tachkent par le train Afrosiab. Dîner. Nuit à l’hôtel.

  • jour 10

    Tachkent, Ferghana en voitures, Kokand, Ferghana.

    Petit déjeuner à l’hôtel. Départ en convoi de véhicules privés, climatisés et confortables de 3 personnes, par le col de Kimchik (2268 mètres) pour la ville de Ferghana (4h00 de route). Kokand, célèbre pour ses chevaux célestes. La région compte de nombreux chevaux racés qui transpirent le sang ; leurs ancêtres sont censés descendre des chevaux célestes. Visite de Kokand : Le Palais de Khoudayar Khan – palais fortifié appelé « OURDA » par opposition à « L’ARK » de Boukhara. La mosquée Juma. Les médersas de Narbouta Bey et de Dastourkhantchi. Déjeuner À mi-chemin entre Kokand et Ferghana, la ville de Richtan est renommée pour ses belles céramiques bleues et vertes avec leur glaçure unique « ICHKOR ». Le secret de cet artisanat se transmet de père en fils depuis 800 ans – argile rouge locale et pigments naturels. Installation à l’hôtel Dîner et nuit à votre hôtel à Ferghana.

  • jour 11

    FERGHANA TACHKENT

    La ville de Ferghana (230 000 habitants) est le centre administratif de la région de Ferghana. Sa création date de 1877. Il a été décidé de construire une nouvelle ville à 12 km de la vieille ville de Marghilan. Au départ, la ville portait le nom "Yanghi Marghilan", qui signifie nouveau Marghilan. En 1924, la ville a été renommée Ferghana. À présent, Ferghana est un centre industriel important de l’Ouzbékistan. D’après la capacité de production, Ferghana est à la deuxième place en Ouzbékistan après Tachkent. Promenade sur le grand marché de Ferghana. Visite d’un atelier de soieries à Marghilan, la capitale de la soie. Déjeuner. Retour à Tachkent. Dîner. Nuit à l’hôtel de Tachkent.

  • jour 12

    TASHKENT-PARIS

    Petit déjeuner. La capitale hétéroclite et cosmopolite d'Ouzbékistan, la plus grande métropole d'Asie centrale. La "cité de pierres", que le géographe grec Ptolémée décrivait déjà comme l'étonnant carrefour des caravanes venues d'Orient et d’Occident, est devenue une ville moderne et dynamique avec des tours de verre, le cœur économique palpitant du pays. Sur la place AMIR TIMOUR, la statue équestre a remplacé la faucille, le marteau et la tête de Karl Marx. Il est devenu le symbole de l'indépendance ouzbek ! L'immense place MUSTAKILLIK est bordée de palais et animée de fontaines. Transfert à l’aéroport pour prendre le vol de retour pour Paris, le vol HY251 à 12h30.

  • Durée : 12 jours à partir de
  • Prix : A partir de 910 € par personne
  • Destinations : Ouzbékistan